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L'aventure spirituelle de l'âme d'un être humain (4)

  • Photo du rédacteur: Lou
    Lou
  • 24 sept. 2020
  • 9 min de lecture

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Avant la conception :

L’âme de l’enfant à venir est déjà connectée à ses parents avant-même qu’ils soient conscients de leur désir de le mettre au monde car elle les a choisis pour poser des actions qu’elle ne pourra faire que sur Terre puisque c’est ici et seulement ici que le plan émotionnel existe.

Chaque Création divine a des cellules germinales qui vont lui permettre de réparer la génération d’avant. Ce qui veut dire qu’une mère qui a été violée a préparé des cellules germinales correspondant à ses souffrances et aux violences vécues par ses ancêtres. Elle a ces cellules depuis le stade embryonnaire. Il en est ainsi pour que systématiquement nous réglions les problèmes du transgénérationnel.

Dans l’acte de viol par exemple, les parents n’ont pas eu de désir d’enfant, et pourtant l’âme sait qu’elle va être conçue par eux car par le biais du transgénérationnel, elle va les libérer, du viol pour la mère en le subissant aussi et du sombre du côté du père.

L’enfant qui choisit un père qui aura violé sa mère, passera aussi par ce chemin pour retrouver l’énergie de fœtus aimé seulement par le Divin.

La conception :

Une fois que l’énergie de conception se manifeste, nous, Êtres humains, ne pouvons pas changer le cours des choses.

Malgré les difficultés à venir, l’âme est reliée à Dieu jusqu’au 7ème jour de conception, ce qui correspond à la genèse et ses 7 jours de création. Au niveau scientifique, il a été observé qu’il existe une reliance entre le Cosmos et la Source qui se poursuit jusqu’au 23ème jour de conception, même si elle est moins forte qu’au tout début, car l’œuf est à ce moment-là intégré à la membrane. Durant tout le parcours dans les trompes avant d’arriver à la membrane de l’utérus, il est encore dans l’Univers, car il n’est pas attaché. Jusqu’à ce stade, l’œuf peut très bien mourir, la conception n’a pas encore eu lieu. Le contrat peut être stoppé par la mort (fausse couche, mort subite du nourrisson, ou mort intra-utérine).

L’embryon est constitué de deux parties, une partie animale appelée vitellin et une partie âme appelée amnios (âme-ose). On voit déjà la partie terrestre et la partie spirituelle de l’embryon avant même qu’il soit un fœtus. C’est dans la troisième partie située entre les deux autres appelée le mésoderme qu’il se formera.


Et ce qui est magique ici, c’est que si une cellule divisée se décompose en deux, quatre, huit, seize, trente deux parties et ainsi de suite alors les cellules qui vont former l’embryon passent par le stade deux, trois, puis quatre et on retrouve là le lien avec la Trinité qui nous relie au Plan divin.

Dès l’œuf nous avons une partie animale et une partie âme, cela signifie déjà que nous aurons une partie lumière et une partie ombre et de fait nous savons que nous aurons des transformations à faire pour trouver la lumière.

Finalement, dans la création de l’Être humain tout est mystique, tout est relié à l’énergie spirituelle (l’ovulation prise en photo ressemble à une éruption solaire) ; on peut donc relier à la fois la partie cosmos (l’Univers), la partie humaine (Création) et la partie qui reçoit (Terre), c’est à dire la femme.

Quand le spermatozoïde rencontre l’ovule, c’est une sorte de Big-bang. L’embryon plane dans une énergie gigantesque qui correspond à l’Univers et il est toujours connecté à l’Énergie divine. Alors quand la membrane de l’utérus (pellucide/paix lucide) est percée pour être pénétrée, on dit que l’embryon vit comme une sorte de mort subite. C’est à ce moment-là qu’il perd toute l’information qu’il détenait avant. C’est comme si on lui disait « Tu sais tout mais tu dois tout reprendre à l’origine ». Il est là le message, en quelque sorte « Tu recommences à zéro ».


Au 24ème jour, l’embryon aura son cœur à l’extérieur de lui, devant les yeux, preuve encore de l’existence de cette énergie qui relie l’âme et le Divin à ce stade d’évolution. Le message associé « Tant que j’ai mon cœur devant moi, je suis dans l’énergie du cœur, et pas dans l’énergie matérielle du pouvoir et de l’Ego ». Dès que le cœur va s’intérioriser, on revient au côté animal. Quand le cœur est devant soi, chaque cellule est dans la Loi de la manifestation et de la conservation. C’est l’énergie du « Je Suis ». C’est parce que l’embryon va perdre la vision du cœur, qu’il aura à intérioriser pour aller le chercher à l’intérieur de lui et être dans le Soi. L’Être humain va se former entre l’amnios et le vitellin, ciel-terre, âme-animal, le but étant d’aller vers sa vie et son Soi intérieur. Il y a donc à sortir de la dualité pour retrouver cette Unité que nous connaissions à l’origine.


Les contrats de l’âme

Nous connaissons les mémoires associées au contrat ; c’est à dire que nous savons la part de Lumière que nous allons pourvoir utiliser et la part d’ombre que nous allons devoir comprendre et libérer. C’est pour cela qu’il est essentiel de rester ouvert à notre ressenti. C’est un magnifique instrument, un lien avec l’âme et l’inconscient, un guide. Si on est dans le mental, cela nous empêche d’avancer sur notre chemin, nous vivons une « petite vie ».


Chaque génération vit des choses différentes. Quand nous nous libérons du poids des ancêtres et de nos mémoires généalogiques, nos enfants en bénéficient et consolident. Nos parents ont vécu la dureté, la souffrance, les guerres. Il a été nécessaire de vivre la guerre pour comprendre notre besoin de paix. On vit toujours un mal pour un bien. Prenons l’exemple de l’Afrique ; cette terre doit se libérer de la magie noire et de l’énergie de dépendance. Il est important que les Africains se libèrent seuls. Quand on assiste une personne ou un peuple, on contribue à la perte de son autonomie, de son courage, de sa fierté, de sa confiance et de l’amour de soi. Il est essentiel de les laisser faire.


Quand nous sommes de l’autre côté, rien ne nous oblige à revenir. Nous sommes responsables de ce choix que nous faisons de nous réincarner. Nous décidons de tout. Du meilleur comme du pire. L’énergie de l’Âme universelle nous pousse à revenir à des valeurs essentielles, à plus d’éthique et d’amour de l’Être humain afin de sortir du matérialisme qui mène aux violences que nous connaissons.

Je choisis de tout tester. Si je choisis de vivre l’expérience de la pauvreté, je vais vivre la pauvreté ; toutefois, si je me relie à l’abondance, je peux connaître cette expérience malgré tout. A l’inverse, si je choisis de tester la richesse, je vais vivre la richesse ; je peux la vivre dans l’Ego ou dans l’amour du partage. Quand bien même je jouerais au loto si ce n’est pas mon chemin de vie ou si cela n’est pas la Volonté divine, je ne gagnerais pas. Si j’ai choisi de soigner la souffrance, je vais passer par la souffrance pour la comprendre. Quand je choisis le contrat, tout va s’associer avec cet engagement :  Je peux être un homme riche et être généreux avec les gens autour de moi.  Je peux être pauvre et être très heureux et plein d’amour. Et ce, quelle que soit l’option choisie : Pour soi (chemin de vie 8), pour la Source (chemin de vie 1 et 11), pour libérer le mal (chemin de vie 2 ou 22), pour amener mon expérience et la partager (chemin de vie 3 et 33), pour accompagner et guider sur terre (chemin de vie 4), pour évoluer et faire évoluer les autres (chemin de vie 5), pour les autres (chemin de vie 6), pour la Sagesse (chemin de vie 7 et 9).


L’âme s’incarne sur Terre pour faire les expériences en relation avec son choix de vie :

Par les souffrances :

Émotionnelles (colère, tristesse, mensonge, mal-être, violence, angoisses, rejet, chocs, abandon, orgueil, trahison, dépendance, état de victime…)

Conflits (c’est dans la relation à l’autre que j’évolue), en lien avec le passé (généalogie et nos propres souffrances karmiques et ancestrales).

1- Le rejet : mon âme est venue libérer une souffrance d’Ego. Soit je suis dans l’orgueil, soit je suis dans l’auto dévalorisation en lien avec cette vie ou une mémoire ancestrale. Je peux être rejeté par mes parents (je ne suis pas désiré et je dois retrouver ma place et mon identité) et je dois apprendre à m’accepter et à m’aimer..

2- L’état de victime : si dans cette vie je suis victime, j’ai pu l’être déjà dans une autre vie, ou bien j’ai été bourreau, ou alors sauveur. J’ai donc ici à me libérer d’un de ces états. On va retrouver dans l’état de victime le lien avec la dépendance ou/et l’abandon, ou/et la colère. Avec mes parents par exemple, je vais revivre de la dépendance, de la colère, du mal-être ou de l’autodestruction.

3- Le deuil ( abandon, tristesse, colère)

Libération de mémoires ancestrales de mort ( suicide ) ou cela fait partie de mon acceptation par rapport à ce que mon âme est venue expérimenter.

Pour plus de détails se reporter aux livres déjà parus .


Toutes ces expériences sont vécues dans un but d’évolution. Il est donc question de progresser, et de se rapprocher le plus possible de la pureté, de la lumière et de la Source. C’est par les chakras et l’aura que nous sommes reliés à elle. C’est donc par notre corps visible et invisible que le travail se fait. Comme le corps porte en lui l’empreinte de la souffrance, quelque soit la thérapie, le thérapeute va pouvoir aller la chercher, la transformer, voire la libérer.

Dans cette évolution, soit nous allons faire les compréhensions par nous-mêmes, soit nous allons les faire par « effet miroir »* . Quand je vois chez l’autre quelque chose qui ne va pas et qui me dérange, c’est ma propre énergie que je vois. De la même façon, ce que j’aime chez lui, c’est ce que j’aime en moi. Pour que l’évolution ait lieu, il y a à accepter ce miroir. L’autre est là pour me montrer ce qui va et/ou ce qui ne va pas. Je me remets en question si besoin au lieu de me victimiser, me culpabiliser, me faire du mal. J’ai à remercier cette énergie de miroir d’âme ; elle me permet d’accepter qui je suis, cette part d’ombre et cette part de lumière. Cela demande de la patience, du lâcher prise et de l’acceptation car les transformations ont leur propre rythme. Parfois il nous est demandé d’attendre, parfois de poser des actions. C’est comme un escalier ; on monte une marche puis nous avons à faire les compréhensions nécessaires pour digérer, intégrer, accepter le changement, profiter et repartir pour à nouveau monter une nouvelle marche et grandir dans cette vie-ci ou une fois dans l’au-delà.


La cause du décès a des conséquences pour l’âme dans l’au-delà. Voici les messages que j’ai reçus :


Dans le cas d’un suicide :

L’âme choisit d’arrêter le contrat. Pour rappel, quand notre âme est de l’autre côté, elle connaît le but de son incarnation mais ne sait pas le chemin qu’elle va prendre pour y arriver. Contrairement à ce qui nous est enseigné dans la religion, l’Énergie divine ne nous en veut pas d’avoir pris cette décision. Par contre, dans les vies qui suivront, la personne aura cela à régler. L’âme en effet sera en souffrance de ne pas être allée au bout de son engagement. La façon dont la personne s’est suicidée est directement reliée à sa souffrance : 

Par pendaison : état de violence, refus de justice, trahison, mémoires ancestrales,

Par empoisonnement : violence, et/ou salissure, 

Par arme à feu : violence en lien avec une mémoire généalogique, en lien avec un ancêtre emprisonné ou la personne elle-même décédée de s’être sectionné les veines, ou bien encore en lien avec l’énergie du sang et donc avec la généalogie (soit un ancêtre est mort dans le sang, son sang a été souillé (magie noire), ou bien encore en lien avec une torture jusqu’au sang, et /ou ancestrale qui n’a pas été réglée (une énergie guerrière), 

Par asphyxie : en lien avec les poumons et le cœur et donc toute l’énergie de souffrance d’amour (maltraitance, rejet, violence). la personne se voit comme quelqu’un de toxique, négative, et est dans un mal-être, autodestruction, ou bien encore est en lien avec une énergie d’intoxication (drogue, gaz) venant d’une mémoire ancestrale ou d’une empreinte généalogique.


Dans le cas d’un accident :

Dans un premier temps l’âme est en souffrance parce qu’elle ne comprend pas ce qui lui est arrivé. Lors de sa réincarnation, elle vivra dans la peur et l’incompréhension et il faudra qu’elle règle cela. Elle pourra soit revivre un accident pour s’en libérer en faisant les compréhensions associées, soit elle aura une phobie (en lien avec cette mémoire ancestrale) pour que l’accident ne se reproduise pas. Dans le cas où la phobie est en lien avec un animal en particulier, la personne aura pu avoir été mangée par ce même animal dans une mémoire passée (soit une fois morte ou soit des suites d’une attaque). La mémoire peut se représenter à la date anniversaire.


Livres : Parcours d’une âme vers la lumière - Editions du Panthéon et Les mémoires de l’âme - Editions Persée

*« Effet miroir » : lien d’âme à âme.

 
 
 

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